Comment guérir de l’excusite, la maladie de l’échec ?
Selon le Dr David J. Schwartz¹, auteur du livre La magie de voir grand, ceux qui vivent dans l’échec souffrent d’une maladie fatale pour l’esprit. Il appelle cette maladie l' »excusite ». Tout échec serait un état avancé de cette maladie. Et la majorité des gens « moyens » en seraient plus ou moins victimes. Mais comment guérir de l’excusite, la maladie de l’échec ?
Qu’est-ce que l' »excusite » ?
Comme son nom l’indique, l' »excusite » consiste à trouver des excuses de son échec, un alibi qui permet de nous sauver la face, comme une mauvaise santé, le manque d’instruction, l’âge, la jeunesse, la malchance, sa femme, ses parents, le manque d’argent, les enfants, un mauvais chef, et j’en passe… Nous avons toujours toutes les meilleures raisons du monde de ne pas y arriver. Or, l’excusite explique la différence entre celui qui avance à pas de géant, et celui qui ne va nulle part. Vous allez découvrir que mieux une personne a réussi, moins elle a tendance à trouver des excuses. En revanche, les personnes dont les réalisations sont médiocres sont toujours prêtes à se trouver de bonnes raisons pour expliquer aux autres et à elle-même pourquoi elles ne progressent pas. Même si de nombreux leaders pourraient trouver des milliers d’excuses eux aussi – comme Roosevelt avec ses jambes paralysées, Beethoven pour sa surdité, J.K. Rowling pour sa pauvreté, ou bien encore Kennedy, trop jeune pour devenir Président² – ils ne le font pas.
Pourquoi vous vacciner contre l’excusite ?
Chaque fois qu’une personne répète son excuse, celle-ci pénètre toujours plus profondément dans son subconscient. Toute pensée, positive ou négative, se renforce grâce à la répétition. Au départ, la victime de l’excusite sait que son excuse est plus ou moins un mensonge. Mais plus elle la répète, plus elle se persuade elle-même de sa vérité absolue, et cet alibi explique qu’elle n’ait pas réussi comme elle devrait.
Donc si vous voulez vraiment faire partie de ceux qui réussissent leur vie, il est primordial d’identifier les différentes formes de cette maladie, de prendre conscience de cette mauvaise habitude et d’appliquer les méthodes qui vont suivre car l’excusite empire si elle n’est pas traitée comme il faut.
Les quatre formes les plus banales de l’excusite ?
1. L’excusite de la santé
« Mais ma santé n’est pas bonne. »
L' »excusite » de la santé se manifeste sous forme d’affirmation chronique : « Je ne me sens pas bien », ou d’affirmation plus spécifique : « J’ai ceci ou cela qui ne va pas. »
La « mauvaise santé », sous mille et une formes différentes, représente une excuse pour :
- ne pas faire ce qu’on veut faire,
- ne pas accepter de plus grandes responsabilités,
- ne pas gagner plus d’argent,
- ne pas réussir.
Des millions de personnes souffrent de l’excusite de la santé. Est-ce pour autant une excuse légitime ? Prenons le cas inverse, tous les gens qui ont réussi et qui pourraient recourir à l’excuse de la santé. Je pense notamment à Frida Kahlo, dont j’ai publié les secrets pour transformer sa souffrance en mission, qui au contraire s’est servi de son état de santé désastreux pour se réaliser et faire de sa vie un exemple d’inspiration extraordinaire. Ou bien à Michel Petrucciani (1962-1999), le pianiste et compositeur de jazz français, handicapé de naissance et atteint d’une forme sévère de la « maladie des os de verre », qui malgré sa petite taille (99 cm) et ses fractures, a marqué l’histoire du jazz. Faites donc le constat que au lieu de se plaindre de leur condition, ceux qui réussissent ont une attitude opposée.
Il existe face à la santé deux manières de réagir, qui illustrent ce qu’est une attitude correcte et incorrecte :
- Il y a ceux qui s’inquiètent de leur santé au moindre symptôme et qui se cherchent des maladies pour se faire plaindre. À force de chercher une maladie, on finit souvent par la créer. Dans le livre du Docteur Schindler : « How to live 365 Days a Year » (Comment vivre 365 jours par an), il montre que trois lits d’hôpital sur quatre sont occupés par des gens qui souffrent de MPS, Maladie Psycho-Somatique. Ces malades ne le seraient pas s’ils avaient appris à contrôler leurs émotions. Cet ouvrage propose donc un programme de contrôle des émotions. Ces personnes soucieuses sont déprimées, sur la voie de la défaite, à la recherche de quelqu’un qui approuve leur défaitisme. Elles ne vivent qu’à moitié, tourmentées par l’idée de la mort et à force de s’apitoyer, finissent par devenir vraiment invalides.
- Et il y a ceux qui ont décidé de vivre jusqu’au dernier souffle, malgré leur mauvaise condition physique. Ces personnes ont une attitude optimiste et enthousiaste et cela ne dépend ni de la gravité de leur état, ni du diagnostic de leur réelle maladie. Cela tient seulement à un état d’esprit, qui se travaille et s’apprend, qui consiste néanmoins en un choix conscient, commençant par savoir de quel camp on veut faire partie.
4 moyens de guérir de l’excusite de la santé
1. Refusez de parler de votre santé
Plus vous parlez d’une affection, même s’il sagit d’un simple rhume, plus elle semble s’aggraver. Parler de sa mauvaise santé, c’est mettre de l’engrais sur de mauvaises herbes. C’est également une très mauvaise habitude car cela ennuie les gens. Ceux dont l’esprit est orienté vers la réussite se libèrent de la tendance naturelle à parler de leur « mauvaise » santé. Il est possible d’obtenir un peu de sympathie, mais on n’obtient ni respect ni fidélité en se plaignant continuellement.
2. Refusez de vous inquiéter de votre santé
Il existe des personnes que l’on pourrait appeler « les inquiets chroniques », qui passent leur temps à faire des contrôles, des analyses ou des radios. On a beau leur dire que leur état de santé est parfaitement normal, ils sont persuadés d’avoir une maladie. Cette obsession est pourtant très néfase car l’esprit ayant un pouvoir très puissant sur le corps, cette croyance finit par créer une nouvelle réalité. Ainsi une bonne santé peut se transformer en maladie rien que par les mauvaises habitudes de pensée.
3. Réjouissez-vous que votre santé soit aussi bonne qu’elle est
Il existe un vieil adage que nous devrions nous répéter plus souvent : « Je me suis lamenté d’avoir des souliers percés jusqu’au jour où j’ai vu un homme qui n’avait pas de pieds. » Arrêtez de vous plaindre de ne pas vous « sentir bien » et réjouissez-vous d’avoir la santé que vous avez. Il existe toujours pire que nous et le simple fait d’y penser devrait vous aider à vous sentir mieux. Se réjouir d’être en vie est un puissant vaccin contre les douleurs et la maladie.
4. Dites vous souvent : « Il vaut mieux s’user que de rouiller. »
La vie est faite pour en profiter. Ne la gaspillez pas. Ne passez pas à côté de votre vie en laissant vos pensées contrôler votre état physique. Prenez la résolution de vivre jusqu’au jour de votre mort et faites tout ce qui est important pour vous, quoiqu’il arrive. Ne faites pas de compromis avec vous-même car vous risqueriez de le regretter un jour.
2. L’excusite de l’intelligence
« Mais il faut être intelligent pour réussir ».
L’excusite de l’intelligence est courante. 95% des gens qui nous entourent en sont victimes à des degrés divers. La seule différence avec les autres formes d’excusite, c’est que ces malades souffrent en silence. Peu admettent en effet ouvertement manquer d’une intelligence adéquate et ressentent plutôt cela dans leur for intérieur. Mais nous commettons, pour la majorité d’entre nous, deux erreurs fondamentales concernant l’intelligence :
1. Nous sous-estimons les capacités de notre cerveau
2. Nous surestimons les capacités du cerveau d’autrui
Conséquence, la plupart des gens se dévalorisent et renoncent à relever des défis, parce que « cela demande de la matière grise ». Et c’est alors celui qui ne se pose pas la question qui obtient l’emploi.
Ce qui importe vraiment, ce n’est pas votre degré d’intelligence, mais l’usage que vous en faites. « La réflexion qui guide votre intelligence importe bien plus que votre quantité de matière grise. » C’est en réalité l’intérêt et l’enthousiasme qui font la différence, et l’état d’esprit avec lequel on s’engage dans une activité ou un projet. Une personne dont le quotient intellectuel est de 100 mais qui est positive, optimiste et sociable, aura plus d’argent, obtiendra plus de respect et de succès qu’une personne qui a un quotient de 120, mais qui est négative, pessimiste et misanthrope. L’application représente 95% d’un talent.
Pourquoi certaines personnes brillantes ne réussissent pas ? Dans son livre, le Dr. David J. Schwartz raconte : « J’ai fréquenté pendant de nombreuses années une personne qui mérite le titre de génie, avec un haut pouvoir d’abstraction (…). Et pourtant en dépit de son intelligence innée, elle est, parmi mes connaissances, l’une de celles qui a le moins réussi. Son emploi est très médiocre (il a peur des responsabilités). Il ne s’est jamais marié (beaucoup de mariages se terminent par un divorce). Il a peu d’amis (les gens l’ennuient). Il n’a jamais placé son argent (il pourrait le perdre). Cet homme emploi sa grande intelligence à prouver pourquoi les choses ne peuvent marcher, au lieu de l’employer à chercher les moyens de réussir.
Cet exemple montre à quel point les pensées négatives sont responsables notre vie. Si elles guident votre potentiel intellectuel, vous serez utile à peu de choses et ne créerez rien. Si l’attitude de cet homme était différente, il pourrait accomplir de grandes choses, mais il lui manque l‘énergie mentale, une attitude mentale positive. C’est donc l’attitude mentale négative, pessimiste, hyper-critique et amère qui paralysent la plupart de ceux qui échouent. Si nous ne pouvons pas grand chose pour nos talents innés, nous pouvons certainement modifier de manière significative la manière dont nous les employons.
3 manière de guérir de l’excusite de l’intelligence
1. Ne sous-estimez jamais votre intelligence, et ne surestimez jamais celle des autres.
Ne vous dévalorisez pas. Concentrez-vous sur vos points forts. Recherchez vos talents particuliers. N’oubliez pas que ce n’est pas votre intelligence qui compte, mais la manière de vous en servir. Exploitez vos ressources mentales au lieu de vous inquiéter de votre quotient intellectuel.
2. Répétez-vous plusieurs fois par jour : « Mes attitudes sont plus importantes que mon intelligence. »
Adoptez, au travail comme à la maison, une attitude positive. Trouvez-vous des raisons d’agir, et non de renoncer. Cultivez en vous une attitude de « gagnant ». Appliquez votre intelligence à des fins positives, créatrices. Employez-la à trouver les moyens de vaincre, plutôt que de chercher des raisons de croire à l’échec.
3. N’oubliez pas que l’aptitude à penser est de loin supérieure à l’aptitude à mémoriser des faits.
Appliquez votre esprit à la création et à l’application d’idées, à la recherche de nouvelles et de meilleures méthodes d’action. Posez vous cette question : « Est-ce que j’emploie mes capacités intellectuelles pour être un agent actif de l’Histoire, ou pour n’être qu’un témoin passif des actions d’autrui ? »
3. L’excusite de l’âge
« Inutile d’essayer. Je suis trop vieux (ou trop jeune). »
L’excusite de l’âge consiste à penser qu’on n’a jamais l’âge pour faire ce que l’on veut faire. Cette maladie de l’échec se présente sous deux formes facilement repérables :
- Le type : « Trop vieux »
- Le type : « Trop jeune »
Vous avez certainement déjà entendu des centaines de personnes de tous les âges expliquer la médiocrité de leurs réalisations en ces termes : « Je suis trop vieux pour me lancer maintenant dans cette aventure ». L’âge semble être un hadicap insurmontable qui empêche la plupart de faire ce qu’ils voudraient. Rares sont ceux qui estiment avoir l’âge parfait. Et c’est bien malheureux car cette excuse réduit considérablement les possibilités d’avenir de millions de personnes. Croyant qu’elles n’ont pas l’âge, elles s’abstiennent d’essayer.
À ceux qui pensent qu’après 40 ans, c’est trop tard…
La vie active commence en moyenne à l’âge de 20 ans et se termine vers 70 ans, même si l’on peut encore être très productif après cet âge. Il est donc intéressant de se placer du point de vue du temps qui reste à travailler. À l’âge de 40 ans, on n’a même pas atteint la moitié du parcours, il nous reste donc de nombreuses expériences à vivre encore. Ainsi, ce changement de point de vue peut être le début d’un grand changement. On ouvre alors à l’avenir une porte que l’on croyait fermée à double tour. Quand on ne prend plus l’âge comme excuse, on retrouve aussi l’optimisme et le dynamisme de ses 20 ans, et on ajoute des années et des succès à sa vie.
Et ceux qui pensent être trop jeunes ?
Parfois, on se voit confier des responsabilités alors qu’on est encore jeune, et l’on est amené à diriger d’autres personnes plus âgées. Il peut être troublant de se trouver dans cette position car nous pouvons avoir peur de ne pas être pris au sérieux, d’être victime de jalousie et donc de ne pas être vraiment respecté, de ne pas être en mesure d’apporter quelque chose aux autres car on pense avoir plus à apprendre de nos aînés qu’à leur enseigner… Retenez alors 3 points importants :
1. Ne vous laissez pas troubler par votre âge
Si on vous propsoe un poste, c’est que vous en êtes capable. Quand vous aurez fourni la preuve que vous êtes capable de remplir un tel poste, vous aurez automatiquement l’âge qu’il faut. Dans tous les cas, c’est vous qui décidez de faire de votre âge un handicap ou une force. La jeunesse n’est un obstacle que pour celui qui y croit.
2. N’abusez pas de vos « galons » tout neufs
Traitez les membres de votre équipe avec respect. Sollicitez leur avis. Faites-leur sentir qu’ils travaillent pour un capitaine d’équipe, pas pour un dictateur. Agissez ainsi et ces hommes travailleront pour vous, et non contre vous.
3. Habituez-vous à avoir la responsabilité de personnes plus âgées que vous
Ceux qui exercent le commandement dans tous les domaines s’aperçoivent souvent qu’ils sont plus jeunes que bien des gens qu’ils supervisent. Acceptez-le et vous verrez de nouvelles opportunités s’offrir à vous.
Les 3 remèdes pour soigner l’excusite de l’âge
1. Valorisez votre âge actuel
Dites-vous : « Je suis encore jeune », plutôt que : « Je suis déjà vieux. » Changez votre attitude mentale face à l’âge et votre manière de vous exprimer. Les mots sont puissants donc surveillez votre langage.
2. Calculez quelle part de vie active il vous reste
Une personne de 30 ans a 80% de sa vie active devant elle. Une personne de 50 ans a 40% de ses chances d’avenir de réserve, la meilleure part en réalité. La vie est plus longue que ne croit la plupart d’entre nous !
3. Appliquez votre avenir à faire ce que vous désirez vraiment faire
Il n’est jamais trop tard pour faire ce qui est important pour vous. C’est vous qui décidez et en jugez ainsi. Cessez de vous dire : « J’aurais dû m’y mettre il y a des années », car cet état d’esprit est penser en termes d’échec. Dites-vous plutôt : « Je m’y mets tout de suite, l’avenir est à moi. » C’est ainsi que tous les gagnants pensent.
4. L’excusite de la chance
« Oui mais moi, c’est différent; j’attire la malchance. »
Il n’existe pas de hasard, « tout a une cause. » De la même manière qu’il n’existe pas de réel accident. Ce que nous appelons accident n’est en fait que le résultat d’une défaillance humaine ou mécanique, ou d’une combinaison de ces deux facteurs, disait un expert de la sécurité routière. Rien ne se produit gratuitement. Le temps qu’il fait n’est pas le produit du hasard. C’est la résultante de causes spécifiques. Il n’y a pas de raison de penser qu’il en va différemment des affaires humaines.
Et pourtant, il ne se passe pas un seul jour sans qu’on n’entende quelqu’un s’en prendre au « mauvais sort » pour ses problèmes. Et on attribue aussi souvent le succès d’autrui à la « chance ».
Comment les gens succombent à l’excusite de la chance ?
Prenons l’exemple d’un homme qui vient d’obtenir une promotion importante. Trois jeunes cadres parlent de cette nouvelle et cherchent toutes sortes de raisons à cette évolution : la chance, l’influence, le réseau, sa femme qui faisait des flatteries au patron, autant de motifs éloignés de la réalité. La véritable raison était qu’il était tout simplement plus qualifié. Il s’acquittait mieux de son travail. Il travaillait plus fort. Il avait plus de personnalité.
Si ceux qui ne réussissent pas ne supportent pas l’idée que la réussite des autres ne puisse pas être liée à la chance, la vérité est que les gens qui atteignent le sommet de leur profession y parviennent du fait de la valeur de leurs attitudes, de l’énergie et de l’intelligence qu’ils mettent dans leur travail.
2 manières de vaincre l’excusite de la chance
1. Acceptez la loi de la cause et de l’effet
Observez bien lorsque quelqu’un semble avoir de la chance. Vous remarquerez que ce n’est pas la chance qui a déterminé sa bonne fortune, mais la préparation, l’organisation personelle et une réflexion orientée vers la réussite.
Considérez de plus près ce qui se passe pour la « malchance« . Observez, et vous y trouverez des raisons bien précises. Quand celui qui réussit échoue, il en tire une leçon et le tourne à son avantage. En revanche, l’autre qui se considère malchanceux, dans la même situation, n’apprend rien.
2. Ne prenez pas vos désirs pour des réalités
Ne perdez ni votre énergie, ni votre temps à rêver de la manière à atteindre la réussite sans effort. La réussite ne dépend pas de la chance, mais vient des actions que nous faisons, et de l’application des principes qui mènent au succès. Ne comptez pas sur la chance pour recevoir des récompenses ou obtenir la victoire et profiter des bonnes choses de la vie. La chance est incapable de vous les assurer. Appliquez-vous à cultiver vos qualités qui feront de vous un gagnant.
Lire également l’article « 3 techniques pour devenir chanceux »
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Notes
¹ Dr David J. Schwartz (1927-1987), auteur et coach américain, a longtemps été considéré comme l’un des plus grands spécialistes de la motivation. Il a notamment été reconnu grâce à son best-seller La magie de voir grand, publié en 1959 et vendu à plus de 6 millions d’exemplaires, qui présente des méthodes aidant à mieux vendre, à mieux diriger, à gagner davantage d’argent, à trouver un plus grand bonheur et la paix de l’esprit. Le Dr Schwartz y propose un programme soigneusement conçu pour tirer le meilleur de son emploi, de son mariage, de a vie familiale et de sa communauté. Il prouve qu’il n’est pas nécessaire d’être un intellectuel ou de posséder un talent inné pour connaître le succès et la satisfaction, mais essentiel de penser différemment et de modifier ses habitudes. Ce livre dévoile les secrets du succès et la puissance magique de votre esprit.
² John F. Kennedy est le plus jeune Président élu à l’âge de 43 ans et 236 jours.